Ulrike Lunacek wiederholt – Die Wahlen in Kosova wurden manipuliert |
Neues Dick Marty Interview auf Albinfo.ch
Und wieder wird die Wahl in Skenderej, der Sami Lushtaku, Verbrecher Hochburg nicht anerkannt.
KQZ ka anuluar votat e 11 vendvotimeve
Publikuar: Sot, më 18 janar 2011
Prishtinë, 18 janar – KQZ ka anuluar votat e dy vendvotimeve të zgjedhjeve të 9 janarit. Ky vendim është marrë me rekomandimin e Qendrës së Numërimit dhe Rezultateve, ku edhe ka përfunduar në tërësi numërimit dhe rinumërimit i votave i tërë procesit zgjedhor. Raportit të QNR-së do t’i bashkohen edhe rezultati i rivotimit të 23 janarit në Mitrovicë dhe votat me kusht.
Komisioni Qendror i Zgjedhjeve anuloi 2 vendvotime të rivotimit të 9 janarit në Skenderaj, pasi në qendrën e numërimit të votave ishin gjetur parregullsi gjatë procesit të rinumërimit. Kryetarja e KQZ-së Valdete Daka bëri të ditur se rezultatet nga këto dy vendvotime nuk do të procedohen në rezultatet e përgjithshme. Po ashtu janë anluruar edhe votimet në shtatë të tjer me kusht.
Les années suisses de Hashim Thaçi
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Hashim Thaçi et ses gardes du corps. En 1999, le chef du gouvernement provisoire du Kosovo, qui a quitté la Suisse depuis quelques mois, se rend à Berne pour rencontrer Joseph Deiss, alors ministre des Affaires étrangères. (Keystone)
Le premier ministre du Kosovo, accusé par Dick Marty d’avoir été impliqué dans des trafics d’organes, a discrètement préparé son ascension au sein de l’Armée de libération du Kosovo (UÇK) depuis la Suisse. Il y a séjourné entre 1994 et 1998
Il a étudié à l’Université de Zurich, tout en préparant son ascension vers le noyau dirigeant de l’UÇK. Hashim Thaçi, le premier ministre du Kosovo accusé par Dick Marty d’avoir été impliqué dans un trafic d’organes prélevés sur des prisonniers serbes à la fin des années 90, a vécu quatre ans en Suisse. C’était entre fin 1994 et 1998. Discret, méfiant et très prudent en raison des activités politiques clandestines qu’il menait, l’homme, connu sous son nom de guerre comme «Le Serpent», n’a laissé que très peu de traces. Deux de ses proches témoignent.
C’est en 1994 que Hashim Thaçi arrive en Suisse, à l’âge de 26 ans. «Il a fui la police serbe qui menait, depuis 1993, une vaste campagne d’arrestations de responsables de mouvements clandestins», raconte Ramadan Avdiu, un camarade de lutte arrivé en Suisse un an avant lui. «Sa maison a été perquisitionnée; il était recherché par la police. Il fallait qu’il parte pour éviter d’être exécuté ou de purger une longue peine de prison.» Hashim Thaçi était en fait condamné par contumace, par un tribunal serbe, à 22 ans de prison, accusé d’avoir attaqué, en mai 1993, une patrouille de la police serbe.
Sa fuite le mène d’abord en Autriche. Puis en Suisse, où il dépose une demande d’asile. Il obtient rapidement le statut de réfugié politique. «Il a déposé sa demande en 1995 et l’asile lui a été accordé en 1996», confirme l’Office fédéral des migrations (ODM), alors que d’autres dates circulaient jusqu’ici dans les médias.
Après avoir séjourné dans un foyer pour requérants du côté d’Appenzell, Hashim Thaçi, né dans une famille pauvre de la région de la Drenica, un des berceaux du séparatisme albanais, s’installe à Dietikon (ZH). Avec sa femme Lumnije, venue avec lui. Il s’inscrit à l’Université de Zurich, en sciences politiques et histoire. Comme à Pristina où, étudiant aussi la philosophie, il dirigeait un mouvement estudiantin de résistance contre la puissance serbe.
Le professeur et expert en stratégie militaire Albert A. Stahel se souvient de lui comme d’un élève «très attentif». «Il a suivi mon cours sur la guerre des moudjahidin en Afghanistan (1979-1989). Il a utilisé leur mécanisme de lutte pour sa propre guerre», commente-t-il.
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edi
März 30, 2011
Die wahl von Pacolli zum Präsidenten ist nun sogar illegal